La septième Vague
De Daniel Glattauer
Editions Le livre de Poche
Sortie le 28 mars 2012
288 pages / 6,60 €
Présentation de l'éditeur...
Leo Leike était à Boston en exil, le voici qui revient. Il y fuyait la
romance épistolaire qui l'unissait en esprit à Emmi. Elle reposait sur
trois principes : pas de rencontres, pas de sexe, pas d'avenir. Faut-il
mettre un terme à une histoire d'amour où l'on ne connaît pas le visage
de l'autre ? Où l'on rêve de tous les possibles ? Où les caresses sont
interdites ? «Pourquoi veux-tu me rencontrer ?» demande Leo, inquiet.
«Parce que je veux que tu en finisses avec l'idée que je veux en finir»,
répond Emmi, séductrice. Alors, dans ce roman virtuose qui joue avec
les codes de l'amour courtois et les pièges de la communication moderne,
la farandole continue, le charme agit, jusqu’au dernier mail…
Ma chronique...
L’amour des mots, c’est M. Glattauer
qui nous la dispense dans Quand souffle le vent du nord, puis dans La septième
vague. Les mots de l’amour, c’est aussi M. Glattauer qui les inscrit en nous.
Sur nos rétines, dans notre cerveau, sur le bout de nos doigts à chaque page
tournée, dans notre cœur. Et c’est l’amour vrai, le seul qui compte, l’unique
et l’ultime amour des lettres… La septième vague, Emmi et Leo, nous transportent,
nous font vivre et vibrer à travers leur correspondance, mettant en avant une
réalité qui n’est ni fictive ni imaginée, mais qui touche deux êtres et tire
ses conséquences sur l’entourage de chacun.
Et c’est avec l’amour des mots et
des mots d’amour que je veux écrire cette chronique. Montrer à quel point cette
histoire me touche, vous faire partager toute l’émotion qui j’ai ressentie
durant ma lecture. Je pense à Emmi et à Leo toute la journée, au boulot, à la
maison, avec impatience quand je sais que je ne pourrais pas ouvrir mon livre
tout de suite, que j’ai encore du travail, que le repas n’est pas prêt, que je
dois faire une lessive…
Daniel Glattauer manie sa plume
avec tant d’émotion, de sensibilité, de cœur et d’espoir qu’il est impossible
de ne pas s’attacher à lui et à ses personnages. La correspondance entre eux
pourrait être vraie tant l’histoire est bien développée, dans on s’implique
dans sa lecture et c’est là un grand talent.
Je suis conquise. Et charmée.
Personnellement j'aurais préféré que leur histoire s'arrête à Quand souffle le vent du Nord (même si la fin était ultra frustrante) car j'ai été un peu déçue par La septième vague. Par contre, je te rejoins sur un point : Daniel Glattauer transpire l'amour des lettres et c'est un pur régal de le lire (ou plutôt de le dévorer).
RépondreSupprimerJ'avoue que je n'ai pas tout à fait fini le livre. Je l'ai commencé hier et j'en suis presque à la fin, mais j'aime faire mes chronique avant que ce soit terminé, quitte à ajouter des commentaires par la suite ! (comme ça je suis sûre de ne pas spoiler pour certains romans) Pour le moment, j'adhère vraiment à la conversation.
SupprimerEt je me suis renseignée sur Internet pour trouver d'autre romans, mais sans succès...