Sortie le 04 janvier 1999
315 pages
Présentation de l'éditeur...
Entre une grand-mère sévère et une mère triste, la jeune Victoria
Jane Stuart connait une existence morose dans un quartier de Toronto.
Jusqu’au jour où elle est invitée à passer les vacances d’été auprès
d’un père qu’elle ne connait pas. Prête à le haïr, elle va, au
contraire, se mettre à l’aimer et elle entreprendra de réunir ses
parents, en déjouant les plans qui avaient provoqué, peu de temps après
sa naissance, leur rupture.
Ma chronique...
Jane habite au si triste 60 rue Gay à Toronto, dans la maison de sa
grand-mère. La vie au 60 est monotone et Jane déteste cet endroit,
jusqu’au jour où elle a enfin la possibilité de s’en échapper : son
père, inconnu, demande à la prendre pour les vacances.
Mais la jeune fille hésite : elle ne le connaît pas. Alors qu’elle
s’attend à le détester, c’est l’exact contraire et Jane va enfin savoir
ce que c’est que de s’amuser grâce à l’île du Prince Edouard.
Par cet ouvrage, l’auteur nous démontre qu’il est possible de
s’adapter partout, il suffit d’y mettre du sien. Et Victoria Jane, de
Toronto, va prouver qu’elle n’est pas si maladroite, pas si retranchée,
jusqu’à faire apparaître la vraie Jane, celle qui fait partie d’une
communauté et qui montre qu’elle est capable de tout. Notamment de tenir
tête à son autoritaire et parfois injuste grand-mère.
Ce roman jeunesse est un vent de fraîcheur dans la littérature. Il
aborde avec simplicité les thèmes de la famille, de l’amitié, de
l’amour, du travail bien fait tout en impliquant le lecteur par une
sincérité et une douceur dans les mots choisis.
Il est impossible de ne pas aimer Jane tant son caractère est
agréable et tant elle se montre disponible pour chacun. Un roman
agréable, au final, pour les plus jeunes comme pour les moins jeunes,
qu’il fait bon d’avoir lu !
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